Ma note

Le Justicier de New York

A peine débarqué à New York, Paul Kersey se rend chez son ami Charley, qui habite dans le quartier de Belmont. Sauvagement agressé par des voyous, ce dernier rend le dernier soupir dans les bras de Paul. La police arrive et l’arrête... Au commissariat, Shriker, le chef de la police, reconnaît en lui l’homme qui avait, il y a dix ans, «assaini» la ville de tous ses dealers et autres gangsters... Bien qu’aucune charge ne soit retenue contre Kersey, Shriker le fait mettre en cellule, où un certain Fraker, individu inquiétant, lui fait subir diverses humiliations... Grâce à l’intervention de Kathryn Davis, avocate qui intercède en sa faveur, Kersey est relâché..

DE : Michael Winner

AVEC : Charles Bronson , Deborah Raffin , Ed Lauter

GENRES : Action, Drame, Thriller

Film de 1985

Durée : 1h 32min

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Résumé critique

🎬 Regards sur Le Justicier de New York

Le troisième volet de la saga Death Wish, intitulé Le Justicier de New York, est un film d'action qui prolonge l'histoire de Paul Kersey, interprété par Charles Bronson, un justicier qui se bat contre les voyous américains. Réalisé par Michael Winner, ce film est connu pour son côté violent et jouissif, avec des séquences d'actions intenses et des personnages manichéens. L'histoire se déroule à New York, où Paul Kersey retourne pour rendre visite à un vieil ami, mais se retrouve rapidement impliqué dans une lutte contre les gangs qui terrorisent le quartier. Le film est décrié pour son apologie de la violence et son manque de profondeur, mais il possède un certain charme nostalgie et une énergie débordante, avec Charles Bronson qui incarne toujours avec conviction le rôle du justicier. Les scènes de fusillades et les explosions sont nombreuses, et le film se termine par un final particulièrement déjanté, où Paul Kersey utilise un lance-roquette pour éliminer les méchants. Malgré ses défauts, Le Justicier de New York est un film qui peut être apprécié pour son côté excessif et son esprit de série B, mais il faut le regarder avec un certain détachement et ne pas prendre son message réactionnaire au sérieux.

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