Le film sur la guerre civile espagnole est une œuvre complexe qui divise les spectateurs. Certains apprécient l'effort de reconstitution historique et la romance bien interprétée, tandis que d'autres dénoncent une vision subjective et contestable de la guerre, trop favorable aux nationalistes. La musique, omniprésente et souvent considérée comme excessive, est également un point de discorde. Le film aborde également le thème du pardon et de la réconciliation, ce qui peut être intéressant pour certains, mais d'autres estiment que le scénario est trop confus et manque de profondeur. Le casting est varié, avec des performances convaincantes de certains acteurs, mais d'autres trouvent les dialogues et les scènes un peu amateurs. Le film est souvent qualifié de mélodrame impossible, incapable de tisser de véritables liens entre ses intrigues. Malgré ces critiques, certains spectateurs apprécient la démarche du réalisateur, Roland Joffé, qui s'intéresse à la guerre civile espagnole et à la figure de Josémaria Escriva, fondateur de l'Opus Dei. Cependant, la majorité des spectateurs estime que le film est ennuyeux et qu'il n'a pas suffisamment traité les thèmes historiques avec sérieux.
