Ma note

La Huitième femme de Barbe Bleue

Nice. Dans un magasin de vêtements où "on parle anglais, on comprend l'américain", Michael Brandon, milliardaire américain, veut n'acheter que la veste d'un pyjama. Une aristocrate ruinée, NIcole de Loiselle, offre d'acheter le pantalon. Scandale, le vendeur refuse de céder le lot séparé en deux. L'affaire "monte" jusqu'au président-directeur-général de l'entreprise... et tout se solde par un mariage. L'épouse découvre que ce Barbe Bleue des temps modernes en est à sa huitième femme. La lune de miel, romantique à souhait (Prague-Venise-Paris), promet d'être mouvementée.

DE : Ernst Lubitsch

AVEC : Claudette Colbert , Gary Cooper , Edward Everett Horton

GENRES : Comédie

Film de 1938

Durée : 1h 21min

Playlist

Presse

9.6

Public

8.2

Disponible sur

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Résumé critique

🎬 Regards sur La Huitième femme de Barbe Bleue

La Huitième femme de Barbe-Bleue est une comédie romantique qui démontre la maîtrise d'Ernst Lubitsch dans le genre. Le film raconte l'histoire d'un milliardaire américain, interprété par Gary Cooper, qui tombe amoureux d'une jeune aristocrate française désargentée, jouée par Claudette Colbert. La rencontre entre les deux personnages est déclenchée par une situation cocasse impliquant un pyjama, et leur relation est marquée par des échanges verbaux délicieux et des situations burlesques. Le film se distingue par son humour subtil, son rythme enlevé et la qualité de ses acteurs, qui font preuve d'une grande élégance et d'un humour naturel. Lubitsch parvient à orchestrer les situations comiques avec une grande finesse, en utilisant notamment le comique de répétition et en créant des gags récurrents qui ajoutent à la dynamique du film. Malgré quelques critiques sur la structure du scénario et le jeu de Gary Cooper, le film demeure une comédie charmante et délicieusement drôle qui plaît par son humour léger et son élégance. Le film est également marqué par la "Lubitsch touch", c'est-à-dire la capacité du réalisateur à créer un humour raffiné et subtil, qui se manifeste notamment dans le traitement du rythme et la mise en scène des situations comiques. Au total, La Huitième femme de Barbe-Bleue est une comédie agréable et divertissante qui reste une œuvre majeure du cinéma américain des années 30.

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